Oeuvres interprétées : Eolo'oolin (percussions) et Yuunohui'Ive (violoncelle) de Julio Estrada.
D’une durée de 9’36’’ minutes, cette œuvre est constituée de dix pages UPIC (dont une qui est répétée à l’identique).
]]>Enregistrement de l'oeuvre Mycènes Alpha, première oeuvre composée entièrement sur l'UPIC par Iannis Xenakis en 1978.
Cet opus fut spécialement conçu pour le Polytope de Mycènes créé du 2 au 5 septembre 1978, sur les ruines de l’acropole de Mycènes en Grèce et faisait entendre les sons électroniques inouïs du prototype (UPIC A) développé par l’équipe du CEMAMu. Désigné par Xenakis comme « une fête de lumière, de mouvement et de musique » ce Polytope se veut être la synthèse des précédents spectacles multimédiatiques du compositeur. [Polytope de Montréal (1967), Polytope de Cluny I & II (1972-73), Polytope de Persépolis (1971), Diatope (1978)].
La première exécution en France eut lieu également en 1978 pour un concert en hommage à Olivier Messiaen, lors d’un cycle qui lui était consacré pour son 70ème anniversaire. Depuis, cette œuvre jouit d’une programmation régulière lors de concerts et festivals internationaux.
D’une durée de 9’36’’ minutes, cette œuvre est constituée de dix pages UPIC (dont une qui est répétée à l’identique).
“QR code 2,” Centre Iannis Xenakis, http://www.centre-iannis-xenakis.org/items/show/668.
Intérêts de l'UPIC pour le travail de composition de Pierre Bernard : notation musicale graphique claire permettant de connaître visuellement le résultat sonore en amont de sa production par la machine, possibilité de jouer avec des effets de masse de manière cyclique, sous forme de prolifération ou de faisceaux, grâce à l'aspect "orchestre". Visuel des partitions de Pierre Bernard.